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Tag - Linux

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samedi 15 mars 2008

migration Ubuntu -> OpenSUSE

Çà fait un petit bout de temps que je n'ai pas trollé...bloggé donc on va recommencer doucement par un billet de geek. !

Après presque 2 ans de bons et loyaux services, Ubuntu vient donc de laisser sa place à OpenSUSE sur ma machine.

Pourquoi ce changement ? Hormis la curiosité, c'est parce que la version KDE d'Ubuntu est un peu à la traîne (pas très jolie, peu réactive, mal intégrée, ...). Je ne jette pas la pierre aux développeurs de Kubuntu qui bien sûr font de leur mieux malgré leur nombre restreint comparé à l'équipe d'Ubuntu).

J'ai donc choisi OpenSUSE car son environnement par défaut est KDE. J'avais déjà essayé Mandriva (Mandrake 9.1 à l'époque) et je j'en n'ai pas gardé un bon souvenir. Si quelqu'un connaît une autre très bonne distribution Linux basée sur KDE, qu'il n'hésite pas à me le faire savoir !

Je vais donc faire une comparaison entre ces deux distributions, mais le but n'est pas ici de déterminer la meilleure, car elles ont chacune leur avantages et inconvénients. A vous de voir ensuite laquelle vous tente le plus ...

Les avantages d'OpenSUSE :

  • KDE est beaucoup mieux intégré et réactif. (heureusement, c'est pour cela que j'ai fais la migration !). La configuration par défaut est aussi plus jolie et fignolée à mon goût.
  • Lors de l'installation, les utilisateurs de mon Ubuntu ont été récupérés et réutilisés pour mon nouveau système.
  • Le fameux Kmenu openSUSE qui fonctionne à merveille. (voir screenshot).
  • Le twinview (double-écran) est très facilement configurable, 2 ou 3 clics et le tour est joué ! (sur Ubuntu, j'ai fais une fois pour toute un xorg.conf que je remettais à chaque fois)
  • d'un point de vue général, je trouve que la finission est mieux, on a directement Java, plein de polices installées, flash, ...
  • la dernière version d'Eclipse est dans les dépôts
  • KDE 4 est utilisable (sur Kubuntu, c'est la grosse galère !)

Ses inconvénients :

  • Le gros point noir, comparé à Ubuntu bien sûr, c'est le système de paquets RPM :
    • ils sont beaucoup moins nombreux. Par exemple, je n'ai pas trouvé de paquets pour Google Earth, Hellanzb, ou FTP Monitor. -> Il va falloir se remettre aux make, make install et compagnie :s
    • Le système de paquets est beaucoup plus lent, dès que l'on souhaite installer un paquet, (ou même en rechercher un), il faut d'abord que le système lise le cache -> ça prend bien entre 40 secondes et 1 minute :s. Quand je pense qu'avec aptitude, j'avais carrément de l'autocompletion, ça fait un sacré choc !
  • le site web français et sa communauté est bien moins importante, mais on sait que ça, c'est vraiment le gros point fort d'Ubuntu.
  • le noyau Temps Réel ne fonctionne pas avec les drivers nvidia...

Les différences :

  • L'installateur d'Open SUSE offre beaucoup plus de choix, mais est donc par conséquent plus compliqué et moins intuitif pour les néophytes. Par exemple, on peut choisir les types d'applications à installer (développement, serveurs LAMP,...).

Voilà pour les grosses différences, c'est ce qui m'a le plus marqué, ce n'est pas exhaustif, et je ne suis pas sur OpenSUSE depuis très longtemps donc il est bien possible que j'ai oublié des choses importantes. Si vous avez d'autres choses à ajouter, les commentaires sont fait pour ça :).

OpenSUSE 10.3

mercredi 27 juin 2007

Portraits de Geek

Voilà un petit article que j'ai trouvé sur le forum ubuntu, qui m'a bien fait marrer. A ne pas prendre au premier degré biensûr ;-)
source originale : http://jpoptrash.nihon-fr.com/portraits/portraits.htm


LES GEEKS


Le pro Linux

linux.gifLe pro Linux est comme tous les reconvertis. Qu’ils soient anciens fumeurs, végétariens depuis peu ou nouveaux adeptes d’une religion quelconque, ils se sentent coupables et honteux de leur passé et veulent donc que les gens ne fassent pas les mêmes erreurs qu’eux ont pu faire. Avant, le pro Linux était chez Windows, mais il a vu la lumière du dieu Tux et maintenant, il voit ! Depuis ce jour, il est sûr et certain que son système est le meilleur, il n’y a pas à revenir là-dessus. Il fait partie des élus. Désormais, il se sent investi d’une mission évangéliste et porte donc la bonne parole partout où il passe, et casse les couilles.
Il soutient activement le logiciel libre. A l’écouter là-dessus, on pense à Jean-Pierre Coffe. D'après lui, quoi de plus beau que ces p’tits artisans qui programment tous seuls dans leur coin, puis mettent à disposition de tous sur le Net leur produit, gratuitement, pour que tout le monde puisse l’utiliser. L’utiliser et peut-être également tenter de se faire remarquer par un éditeur afin de le commercialiser, parce que bon, c’est bien gentil, mais ce n’est pas l’altruisme qui paye le loyer quoi merde ! Le logiciel libre est une bonne chose, tant que le programme n’est pas un gros succès. S’il en est un, on voit nos désintéressés de service se muer en de féroces capitalistes, prêts à bouffer le monde entier et à marcher méchamment sur la sainte communauté dont ils sont issus. C'est le problème de ce genre de discours cloisonné, il ne peut y avoir d'évolution sans trahison. On peut au moins reconnaître une qualité à Bill Gates : jamais il n'a retourné sa veste ; dès le début, son seul désir n'a toujours été que de vendre ses produits aux plus offrants.
Linux permet aussi à une poignée de foireux de se réapproprier l’informatique comme elle le fut il y a de cela 25 ans. Rappelez-vous, à l’époque, pour tripatouiller un ordinateur, il fallait avoir, au minimum, 22/20 en math, porter de grosses lunettes et avoir un visage en ébullition. On les voyait dans Incroyable Mais Vrai de Jacques Martin, ils réalisaient les six faces du Rubik’s Cube en moins de 20 secondes et ne s'exprimaient que par mono-syllabes. Chez eux, dans leur chambre aux rideaux toujours tirés et sentant le renfermé, ils avaient un IBM de 20kg et codaient déjà comme des fous sur des supports K7 audio. De vrais mutants ! Linux, c’est un peu ça, mais en version couleur et USB ; c’est le retour de l’informatique pure et dure et uniquement accessible à un public restreint et aguerrit. Le pro Linux adore régner sur les forums consacrés, section dépannage des newbies, c’est toujours la plus fréquentée... Suivant leurs malheurs, il leur pond une pavé de cent lignes de codes pour que le si pratique et si intuitif système puisse enfin ! reconnaître une carte-vidéo et faire les mêmes effets visuels que Vista… Parce que neuf fois sur dix, les nouveaux adeptes veulent retrouver sur leur OS gratuit fraîchement installé les mêmes fonctions que leur Windows. Ça valait vraiment le coup de changer de camp… Enlevez tous les gens qui sont sur Linux uniquement par snobisme et vous diviserez par deux le nombre d’utilisateurs dans le monde entier.
Le pro Linux clame partout qu'il préfèrerait qu’on lui coupe une jambe plutôt que de faire tourner un programme made in Microsoft. Hélas, quand on va chez lui, on constate toujours que son ordinateur principal, celui relié au Net, a Windows comme système d’exploitation, et le dernier en date. Il se jette d’ailleurs dessus dès que Billou commercialise un nouvel OS. Bien qu’anti Microsoft primaire, il adore frimer la première semaine devant tout le monde en disant qu’il a la nouvelle édition de Vista 98 XP pack 12. Curieusement, on ne le voit pas aussi excité lorsque Ubuntu sort une nouvelle mouture de son système. Pour un soi-disant puriste, ça la fout mal mais il faut savoir que Linux répond uniquement aux fonctions premières d’un PC : produire ! Et oui, à la base, un ordinateur, c’est pas fait pour jouer. Y’a les consoles pour ça. Mais comme notre pro Linux est un hardcore gamer irrécupérable, il sera à jamais l’esclave soumis de Microsoft et se devra de toujours avoir la dernière version en date de Windows pour faire tourner ses jeux de cons online où il laisse libre court à sa violence (Counter Strike ou Halo) et autre mythomanie latente (Second Life). Et pour éviter les erreurs de compilation de Wine, et foutre ainsi en l'air sa partie sacrée du soir, mieux vaut avoir l’original. Linux est une couverture pour lui, même s’il ne se l’avouera jamais car c’est un hypocrite en puissance. Il est comme ces « anciens » alcooliques qui boivent en cachette mais fustigent ceux qui sont encore ouvertement dans la bouteille…
Si vous croisez un pro Linux et qu’il commence à vous bassiner sur le fait qu’il faut arrêter d’être sur Windows, demandez-lui sur quel système d’exploitation tourne son World Of Warcraft, puis éteignez votre cigarette dans son œil… Ça le calmera de suite.


Le pro Mac

macOS9.gifLe pro Mac est comme tout membre de communautés minoritaires, très engagé et très sectaire. Il hait les pro Windows et tolère de justesse ses petits camarades pro Linux, autres « rebelles » aux cheveux gras de l'informatique.
Qu’il soit riche ou surendetté, comme tous les Français, il n’hésite pas à s’offrir le dernier modèle de Mac Mini Book G78. Pourquoi 78 ? Parce qu’il est 78 fois plus cher qu’un PC ayant les mêmes capacités ! Et oui, entrer dans la secte Apple, ça se paie. Ça a démarré dans les années 80. A l’époque, le particulier qui voulait faire de la PAO de qualité avait deux solutions. La première, c’était de s’acheter un Atari ST Mega 4 et son imprimante laser. Coût total : un peu plus de 10 000frs. La seconde, c’était de se payer un Mac et son imprimante laser. Coût de l’achat : 100 000frs ! Les différences ? Négligeables et elles ne valaient certainement pas 9 briques de plus. Mais les possesseurs de Mac ne voulaient rien savoir. Eux étaient des pros de la PAO, les autres n’étaient que des amateurs, même si on écrivait mieux qu'eux !
Vingt ans après, ça n’a pas changé. Comme le pro Windows qui pense que c'est le logiciel de marque qui donne le talent, le pro Mac pense lui que c’est le prix qui rend pro. Utilisant son 6ème crédit à la consommation consécutif, notre banane s'offre la reine des pommes pour rejoindre le club, car oui, les possesseurs de Mac en achètent pour la simple raison que « les pros en utilisent tous ! » Il pourra donc utiliser son ordi de pro à 2500€ pour consulter ses mails comme un pro, taper ses CV de demandeur d’emploi pro sous Word et naviguer en pro sur le net, avec Internet Explorer, sur des sites de cul pro… Le reste du temps, il travaille sur son Mac. Il n’a pas trop le choix d’ailleurs car s’amuser sur Mac, faut vraiment le vouloir. Essayer de trouver des programmes de téléchargement, de lecture vidéo et surtout des jeux est un défi quotidien pour lui.
La nouvelle vague de pro Mac, arrivée par l'iPod ou par lassitude des plantages incessants et autres virus tenaces qui pourrissent son PC depuis des années, est sans doute la pire. Persuadés de changer de vie en même temps que d'ordinateur, ces nouveaux convertis oublient tout de leur passé mécréant et moqueur envers leurs quelques amis qui buvaient du cidre depuis le Mac Classic. Après leur chemin de croix (pèlerinage à l'Apple Store, achat de « OS X pour les nuls », inscriptions sur tous les forums Mac du Net, deux goldens tous les matins pendant une semaine…), ils commencent leur propagande, devenant, comme tous les dévots fraîchement convertis, plus pro Mac qu'un pro Mac ; tout en péchant régulièrement sous couvert de manque de compatibilité Mac-PC. Les vieux réflexes ont la vie dure. Après quelques années de tâtonnements, ces fidèles de la dernière heure découvrent qu'ils peuvent eux aussi customiser l'apparence de leur OS jusqu'aux moindres détails et se retrouver, comme tous les amateurs de tuning PC, avec un bel écran de beauf-otaku-geek.
Prix élevé oblige, la mentalité de snobinard-bobo du fan de Mac rejaillit à chacun de ses investissements et sa santé mentale ne dépend que du modèle d'iPod qu'il utilise. « Quoi, tu n'as pas un iPod 40ème génération ? » C’est vrai, comment survivre sans voir des films sur un écran format timbre-poste ? Et vu la durée de la batterie, mieux vaut que ça soit un court-métrage…
Elitiste, le pro Mac se trouve unique et exceptionnel. D'ailleurs le VRP international d'Apple, Steve Jobs, est lui aussi un homme exceptionnel à ses yeux. Comme Bill Gates, Jobs est adulé par des groupies fanatisées et passe pour un innovateur de génie même s’il n’a rien fait depuis des années à part couler sa boîte plusieurs fois de suite...
Convaincu d'avoir connu l'illumination, le pro Mac se fait un plaisir sans cesse renouvelé de tacler les possesseurs de PC lambda, qui n'ont vraiment pas besoin de ça puisque leur sac à puces acheté à l'hypermarché du coin plante sans cesse, entre deux rêves où il se voit lapider à coups de pommes pourries ce voleur de Billou, devenu milliardaire en piquant toutes les idées d'Apple. Donc, les siennes...


Le pro Windows

windows.gifLe pro Windows est victime du syndrome de l’Amérique, il se prend pour un winner et ne vit, et ne jure, que par les entreprises gagnantes, de préférence celles du CAC 40 et surtout du NASDAQ évidemment. Quand un patron est multi milliardaire, il lui voue un culte. Bill Gates, malgré sa coupe au bol, ses débardeurs et sa tronche de membre à vie du club des anciens acnéiques, est son idole.
Le pro Windows hait les logiciels gratuits et libres. C'est pour lui une atteinte intolérable au « Marché »... Les siens sont tous des trucs disponibles dans le commerce. Pour lui, la marque est gage de qualité et de résultat optimal ! Dans sa tête, c’est le programme qui a le talent et non la personne… Un bon article ne pourra s’écrire que sous Word par exemple. D’ailleurs, c’est ce que sous-entend également Microsoft à l’Education Nationale, en menace à peine voilée, afin de leur refourguer des licences d’Office plutôt que de les voir prendre des Open Office : « Avec nous, Microsoft, vos enseignants préparent sérieusement l’avenir de leurs étudiants et auront ainsi de grandes chances de devenir milliardaires, même ceux de couleurs ! Avec nos concurrents par contre, c’est gratuit certes mais ce sont des amateurs et vous prenez le risque de gâcher le potentiel des élèves, surtout ceux de couleurs et vous ne voulez pas passer pour racistes n'est-ce pas ? N'est-ce pas ??? Il se peut aussi qu'à cause de votre éventuel mauvais choix, vous condamniez vos étudiants à devenir RMIstes à vie, qu'ils attrapent un cancer incurable ou que leur classe explose brusquement. Et ce sera de votre faute, à vous ! Alors, attention, faites TRÈS attention à ce que vous allez faire, nous ne vous le dirons pas deux fois... Signez là. » Mais n’allez pas croire que le pro Windows paye de sa poche les coûteux programmes ! Ah non ! Comment le pourrait-il d’ailleurs ? Quand on est un petit commercial minable uniquement rétribué à la comm’ ou un grouillot en informatique, on a tout juste de quoi ne pas sombrer dans la malnutrition et payer son abonnement à Internet. Pour être à la pointe du progrès, il pirate comme un malade. Il lance Emule ou un client de Bit Torrent (des programmes en open source…) et va-y que je te télécharge le logiciel cracké en question ! Toujours la dernière version en date évidemment. « Adobe vient de sortir une nouvelle version de Photoshop, la 18.0.2 ? Mon dieu, je n’ai que la 18.0.1 !! Vite vite, il faut que j’upgrade !!! » C’est vital pour lui, même s’il ne sait se servir de Photoshop autrement que comme une visionneuse d’images. Autant utiliser un bulldozer pour enfoncer un clou…
Quand il ne trouve pas sur les réseaux de P2P ce qu’il cherche, il utilise une version d’évaluation qu’il a topé dans un Cd gratuit de promo et tente de trouver le serial code, se chopant au passage plusieurs virus dans les dents (niveau bouillon de culture, les warez sont pires que les hôpitaux…) mais il s’en fout, son Norton Antivirus cracké est là, même si sa mise à jour date de son installation. Ben oui, faut se connecter pour bénéficier des dernières définitions de virus et il pourrait se faire repérer… Courageux mais pas trop non plus. Son PC ressemble à tout sauf à un PC. En bon beauf qu’il est, c’est un adepte du tuning, il possède tous les derniers gadgets tape-à-l’œil, du système de refroidissement liquide aux néons internes le faisant clignoter comme une devanture de sex-shop. Avec ses tonnes de disques durs internes et externes reliés ensemble sur sa carte-mère dernier cri afin de stocker ses nombreux films de boules en format ISO, il peut donc crier fièrement qu’il a l’ABIT RAID… Son nombre de Go perso dépasse celui de tous les locataires réunis de son immeuble. D’ailleurs, il ne parle plus qu’en To…
Complètement parano et croyant qu’on le surveille alors qu’il n’est rien, il accumule les usines à gaz les plus inutiles et bouffeuses de ressources système mais donnant l'illusion d'être invisible : firewalls, navigateurs rendant soi-disant anonyme, antispywares et destructeurs de traces, ralentissant ainsi de plus en plus sa bécane jusqu’au moment où elle ne peut plus avancer. Croyant alors qu’elle est dépassée, il change de configuration, en moyenne tous les ans, et s’offre le dernier bi-processeur 64bits en date et utilisé par aucun logiciel à l'heure actuelle, une carte-vidéo à 1000€ dont il s'empressera d'exhiber les performances à coups de captures d'écran sur des forums de hardware spécialisés dans les concours de longueurs de bite, des barrettes de ram, un écran 21 pouces etc. Le tout à crédit. Il n’a pas le choix car, tout ça, il ne peut malheureusement pas le télécharger. Il se retrouve donc avec un PC haut de gamme qui lui sert à surfer sur le Net, chatter sur MSN, télécharger et relever ses mails… Il fallait bien ça.

dimanche 27 mai 2007

le copier / coller Linux sous Windows

Quand on a pris l'habitude sélectionner (copier) -> clic milieu (coller) sous Linux et qu'on revient sous Windows, pas facile de reprendre l'habitude sélectionner ctrl+c ctrl+v !

J'ai donc trouvé un logiciel qui permet d'utiliser cette façon de copier - coller sous Windows : DragKing.exe. Il est gratuit et ne s'installe pas. On lance le .exe et pouf, ça marche ! (il faut juste aller dans les options pour choisir sur quel bouton appuyer pour coller).

Voilà, c'est tout pour les petits logiciels tout cons mais bien pratiques !

EDIT : c'est quand même moins pratique que sous linux car on n'a toujours qu'un presse-papier avec ce logiciel.

mercredi 17 janvier 2007

Votre windows sous Linux

Avec Vmware, vous pouvez lancer votre Windows directement à partir de Linux. Il ne s'agit pas d'un programme qui emule les logiciels, mais qui lance bien votre windows qui est déja installé sur votre PC en créant une machine virtuelle.
Par exemple, sur le screenshot, j'utilise mon Windows sur lequel je démarre habituellement pour jouer.
Ce système marche beaucoup mieux que wine qui lui réécrit les librairies de windows pour lancer vos programmes.
C'est très pratique pour dépanner lorsque certains matériels comme les téléphones portables ne sont compatible que Windows pour se mettre à jour ou si on veut utiliser des logiciels qui n'existent pas sur Linux.
Le seul problème, c'est que ca n'émule pas l'accélération graphique, donc pour jouer aux jeux DirectX, il faudra quand même rebooter sur win :-(.
Pour installer vmware sur Ubuntu, le tutoriel se situe ici.

vmware.jpg

mardi 28 novembre 2006

konqui !

Ce coup-ci, je profite d'une astuce que je viens de découvrir pour Konqueror, pour déjà vous en faire part, et aussi pour le présenter à ceux qui ne connaissent pas le logiciel phare de l'environnement graphique KDE (pour Linux donc).
Konqueror est un programme qui permet d'explorer votre disque (comme Nautilus ou l'explorateur windows), sauf qu'il a en plus, beaucoup de fonctionnalités.
En effet, il gère les onglets (qui d'ailleurs est sujet de l'astuce que je viens de découvrir :p) et beaucoup de protocoles : on peut s'en servir comme naviguateur internet, client ftp, ssh, samba...Il possède aussi un sous-menu action très efficace pour interagir avec n'importe quelle application kde. J'ai aussi découvert récemment qu'on pouvait avoir une console du répertoire courant, en cliquant sur le petit bouton adéquat. (voir screenshot). Voilà pour le principal, tout dire serait bien trop long tellement il y a d'options.

Bref, voilà l'astuce que je viens de lire sur eMerzh's Blog
Pour pouvoir fermer n'importe quel onglet de konqueror avec le bouton du milieu de la souris (comme sur firefox), il suffit d'ajouter la ligne suivante au fichier ~/.kde/share/config/konquerorrc dans la section FMSettings :
MouseMiddleClickClosesTab=true
Certes, pour un utilisateur de base, c'est pas non plus transcendant comme astuce, mais pour un geek, ça change la vie :-D

Voilà, sinon petite dédicace à l'ABSOLUT TEAM pour le screenshot ! Je mettrais peut être un jour la vidéo du tire-bouchon en rut sur le blog, mais j'ai peur d'en choquer quelques-uns! Je ne donnerai pas l'adresse du lien vers le site où on peut la télécharger, car il y d'autres vidéos dessus que je ne préfère pas qu'on regarde lol.

konqui.png

mercredi 4 octobre 2006

AmaroK

Allé je me lance pour vous présenter cette rubrique ! J'ai donc créé une catégorie AsTuX (jeu de mot avec tux le ptit pingouin que j'ai mis en avatar, il est pas mignon ?) où je présenterai les logiciels qui me paraissent incontournables sous linux. Et oui, les systèmes GNU/Linux étant libres, et gratuits (il existe des versions payantes, mais c'est le support que l'on paye), il n'y a pas de pub, et c'est donc pour ça que c'est aux utilisateurs d'en faire :p. Ceci explique cela... bref ! Voilà, on commence sans plus tarder, par AmaroK, un lecteur audio qui a la classe ! Tout ce que vous avez à faire, c'est lui indiquer quels sont les dossiers de musique à ajouter dans la bibliothèque. Après le scannage, vous allez dans l'onglet "collection", et la vous avez tout vos fichiers mp3 (ou autres) indexés selon l'album, l'artiste,etc...

Voici les principales fonctionnalités (le logiciel étant vraiment très complet) :

Tout d'abord le moteur de recherche dans la bibliothèque est vraiment génial et très rapide. Lors d'une lecture d'un album, amarok affiche la pochette (il la télécharge sur le net), il télécharge également les paroles pour que vous puissez chanter à tue-tête devant votre pc. Il peut aussi vous afficher l'article de Wikipedia correspondant à l'artiste en cours, très pratique si on veut connaître le nom des musiciens, ou encore la discographie complète... Il y a aussi tout un systeme de statistiques qui permettent de nous proposer des chansons en rapport à nos gouts, ou alors de nous lancer des titres jamais écoutés, etc... Enfin, l'interface est très ergonomique et agréable. Si vous avez un clavier multimedia ou une télécommande, c'est le top ;-)

Voici deux petits screenshots pour vous donner une idée de la bête.

amarok1.jpg

amarok2.jpg

une seule commande pour les utilisateurs d'ubuntu ou debian pour l'installer : sudo apt-get install amarok